Jacky, l'entretien exclusif

Première rencontre avec Jacky le 12 octobre lors de l'enregistrement du "Grand jeu des années Club Dorothée" sur Gulli.

Jacky Jakubowicz alias du "Jacky du Jacky Show" dont la carrière ne peut se résumer à la période 1987-1997, marquée par le Club Dorothée a eu la gentillesse de m'accueillir chez lui, me laissant carte blanche pour mes questions. Mon ambition était de l'emmener sur des terrains moins explorés, loin des sujets mille fois abordés. J’ai volontairement évité de m’attarder sur la période de l'Auguste télévisé recevant sans fin seaux d'eau et tartes à la crème au visage ou celle des « 3 Héros », qui, à mes yeux, n’est pas la plus captivante de sa carrière. Et surtout, je n’ai pas posé la sempiternelle question : «Comment va Dorothée ?».

Jacky, qui joue « l'idiot-visuel » depuis septembre 1978, a un parcours extraordinaire. Il s'est laissé porter par les opportunités, les rencontres et les projets qui ont jalonné sa carrière, toujours en mettant les artistes à l’honneur. Depuis 45 ans, il n’a jamais cessé d’avancer, avec une énergie inaltérable. Je crois qu’il aime le rythme : il m’a d’ailleurs plusieurs fois parlé de la durée de notre entretien le souhaitant rapide. J'espérais une interview longue pour lui donner le temps de se dévoiler et d’évoquer des expériences télévisuelles méconnues mais avec Jacky, tout doit aller vite et le trublion du P.A.F. a un univers riche à partager. Celui qui a animé pas moins de 12 émissions, chanté 17 chansons, fait de la radio, écrit pour la presse, participé à 4 films et parcouru les scènes de France au côté de son amie Dorothée est un véritable électron libre qui, à chaque étape, a marqué de son empreinte l’histoire du divertissement.

Un immense merci, Jacky, pour ton accueil chaleureux et ta bienveillance. Merci de m'avoir offert l'opportunité de m'entretenir avec une icône de ma jeunesse et d'approfondir mon expérience d'intervieweur face à celui qui a su imposer sa marque dans cet exercice avec talent.